some velvet morning
Aujourd'hui j'udpate que dalle. Enfin si, j'update quand même, mais sans updater. Juste que je viens de tomber sur cette photo là et que je pouvais pas me résoudre à la laisser pourrir dans mes dossiers.
C'est pas la joie, c'est chiant à crever. J'écoute Slowdive et j'ai l'impression que je vais mourir. Tellement pas motivé, j'ai pondu dix pages, là comme ça dans ta gueule et ça m'a tellement foutu à plat que toute la boîte de dafalgan y est passé. Genre j'ai forcément eu de la fièvre pour rentrer dans une transe pareil. J'ai relu le tout à l'instant, et j'ai chialé sans raison. Et là j'ai envie d'écrire vite et mal. Et je m'en fous si ça veut rien dire, je m'en fous si c'est pas certifié Larousse-Bescherelle-Grammaire 6e.C'est que j'ai décidé de tout boucler en trois jours (la mort, quoi) et j'ai même pas peur, bordel.
Et puis Maxine a regardé pour moi dans sa fausse boule de crystale achetée dix balles dans une boutique de merde à New York mais qu'il faut pas croire, elle a la classe internationale, qu'entre Pete et moi, ça allait le faire, surtout après la reconnaissance de mon bouquin comme oeuvre générationelle (d'où mon côté supra excessif de ce matin. J'assume). Maxine, I LOVE YOU même si je te conseille d'arrêter de jouer à la voyante après avoir descendu trop de cocktails tue la mort. Mais ça m'a foutu de bonne humeur malgré tout. Merci.
Je retourne donc à ce connard de manuscrit. A dans trois jours, sauf si je claque avant.
BYE BYE BIRDIES.
slowdive . ballad of sister sue